mercredi 4 septembre 2013

de la culotée honteuse

Peuplade aimée, cher lecteur admirable,

Oui, ce post commence par de la lèche intempestivement polie oui: Didine a la fièvre et terriblement besoin d'une oreille (ou plutôt d'yeux en ce qui concerne cette lecture) bienveillante-conciliante-remplie-de-pitié-et-d'absolution!

L'heure est grave par laquelle Didine va se confier et révéler un épisode fort de ses retrouvailles violentes d'avec sa copine-de-galère détestée, la susnommée: mamzelle la honte!

Cette colleuse de basque poisseuse est revenue à cause d'un régime!

Un régime tout con, esscluant seulement les hydrates de carbone (low carbs en angliche), qui s'est mis à régir mes assiettes parce qu'un jour j'me suis dit-comme-ça qu'c'était bizarre et franchement pas esthétique que mes cuisses se mettent à se toucher en marchant...
Du coup j'ai fait le test du vêtement-test. Vous connaissez n'est-ce pas? Ce truc super vieux qu'on se doit de toujours pouvoir enfiler. Ce truc qui nous rassure au possib' et qui nous PROUVE qu'on n'est pas en voie de pachidermisation!
Ben le mien de truc, c'est un bermuda. Un bermuda pour le boulot, façon tailleur, coupe droite (et donc sans élastane-magique!!!), que j'ai toujours porté avec une certaine fierté postérieurale.
Mais voilà, il y a 1 mois et demi de cela je n'ai soudain plus pu l'enfiler: l'arrivait à mi-miches et ne passait plus la barrière de mes cuissots-les-salauds!

S'en suivi un déclic fulgurant: une cessation immédiate de boustifaille intempestive! Ceci dit, il tombait plutôt bien puisqu'on était en pleine canicule donc facile pour les salades, et pi j'allais en vacances aux zantilles où j'ferais rien que d'nager et suer pendant que le soleil darderait mes capitons!
C'est ainsi que le mois 1/2 passa trop rapidement et que, de retour à Paris, devant le miroir totalement embué par mon souffle anxieux, je décidais qu'il était l'heure de l'essayage capital!
Tu m'crois, tu m'crois pas, la vérité: l'est rentré à l'aise! L'a glissé sur les vagues (devenues vaguelettes) corporelles sentant encore le monoï; et l'a passé la barrière fondEmentale sans efforts ni bourrelets disgracieux: Didine l'imbue s'est pavanée toute la journée en roulant du cul comme c'est pas permis tellement elle était fière en plus d'être bronzée!!

Du coup l'a pas hésité à garder son fétiche pour aller boire un verre en fin de soirée en charmante compagnie. Soirée qui s'avéra aussi agréable qu'elle l'avait imaginée; décidément Didine était ravie de ce régime!
Elle en devenait sure d'elle, et un peu trop du coup, car évidement la confiance en soi est une chose trop rare chez elle pour durer. L'a bien fallu qu'il se passe quelque chose, pour renverser la tendance, et pour le coup, se fut quasiment insoutenable en terme de honte atomique...

... ... ... ...

... A un certain moment (un moment très certain même!!), ben c'est aut'chose que son slip qu'elle a craqué hein... et quand je dis craquer, le mot est bien faible pour décrire la zébrure diagonale, accompagnée de façon ultra précise par le bruit caractéristique d'une déchirure, partant du milieu de son séant jusqu'au haut des fesseps, et échancrant définitivement ZE bermuda-chéri!!!!

Pour se rassurer, Didine a beaucoup compté sur la couleur de sa culotte et la world-class absolue du gentilhomme l'accompagnant. Gentilhomme définitivement hilare pour le reste de la soirée ceci-dit... On a beau être intrinsèquement smart, face à une Didine dans toute sa splendeur, il y a des choses difficiles à maîtriser.....

Who is to blame???

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