When you do your best, you're real best han - not a shitty best like: "well today i did my work i ate hearthly" or other stuffs of that kind no!!-
when everyday you're throwing yourself back into question because all you're looking for is understanding your world and be the perfect friend or colleague because you know that paradoxically no-one's perfect. Inevitably you are waiting the same in return... even when you do not want to think about return, even when you say that you don't expect anything...
down in your core you mean it!!
and when true unfairness happens you're suddenly strong AND devasted.
this is one of the infernals questions of being a human
jeudi 28 juin 2012
mercredi 13 juin 2012
j'ai du temps
Qui-c'est-t'y le môsieur (oui "môsieur" hein, passque la madame elle est occupée à être une adoratrice de satan qui saigne sans être blessée alors bien-sur il ne faut pas l'écouter!) qui a eu tellement de temps pour penser qu'il a taxé les simples d'esprit de la possession du bonheur absolu?
Qui-c'est-t'y qu'a comparé les poches à pipi à de grosses ampoules?
Qui-c'est-t'y hein qui-c'est-t'y???
Et ben ce sont des philosophes! les bon gros (ou maigres hein, en général la passion du cerveau coupe la faim mais pas la soif) philosophes qu'ont rien d'autre à faire qu'à penser! Parceque quand tu travailles 15h d'affilées dans un champ pour te nourrir ou que tu dois te taper 30 bornes à pied sans chaussures tous les jours pour ramener de l'eau à tes gosses, ben tes muscles ils t'intiment le silence.
La philosophie c'est la croyance de ceux qui croient trop en l'homme.
Je ne critique pas, non! Car il faut en avoir dans le cervelet, pour placer en quelques mots tous les penchants humains.
C'est juste qu'aujourd'hui je suis fatiguée de ressasser les causes de toutes les conséquences; de chercher la raison de tous les raisonnements.
Parfois je voudrais la clareté: la confiance absolue que je détiens la vérité, ma vérité, bonne pour moi, faite pour moi et ne plus en dévier, quitte à ne pas accéder à celle des autres...
Et si je détenais la pierre philosophale, c'est la pensée que je choisirais de matérialiser!
à non, le cinéma s'en charge déja...
merci môsieur le 7eme art!
Qui-c'est-t'y qu'a comparé les poches à pipi à de grosses ampoules?
Qui-c'est-t'y hein qui-c'est-t'y???
Et ben ce sont des philosophes! les bon gros (ou maigres hein, en général la passion du cerveau coupe la faim mais pas la soif) philosophes qu'ont rien d'autre à faire qu'à penser! Parceque quand tu travailles 15h d'affilées dans un champ pour te nourrir ou que tu dois te taper 30 bornes à pied sans chaussures tous les jours pour ramener de l'eau à tes gosses, ben tes muscles ils t'intiment le silence.
La philosophie c'est la croyance de ceux qui croient trop en l'homme.
Je ne critique pas, non! Car il faut en avoir dans le cervelet, pour placer en quelques mots tous les penchants humains.
C'est juste qu'aujourd'hui je suis fatiguée de ressasser les causes de toutes les conséquences; de chercher la raison de tous les raisonnements.
Parfois je voudrais la clareté: la confiance absolue que je détiens la vérité, ma vérité, bonne pour moi, faite pour moi et ne plus en dévier, quitte à ne pas accéder à celle des autres...
Et si je détenais la pierre philosophale, c'est la pensée que je choisirais de matérialiser!
à non, le cinéma s'en charge déja...
merci môsieur le 7eme art!
vendredi 8 juin 2012
parcequ'en ce moment je lis confucius
parfois comme ça la vie vous met sur la route de gens completement compatibles
de personnes qui semblent faites pour devenir des amis,
de vrais amis, de vrais amis à vous, comme vous, pour vous!
on le ressent comme un étonnement, par exemple quand elle rit aussi fort à la même blague pourrie que vous.
on se retourne, on regarde, on jauge et on est interloquée car on ne s'y attendait pas: si peu de personnes nous complètent dans un monde si vaste et si peuplé...
(ou alors faut être mort de faim ou fan, mais ça c'est un autre sujet.)
Cela m'est arrivé à plusieurs stade de ma vie et à chaque fois sans que je le cherche.
Et depuis, je conserve ces amitiés comme une pitite chose précieuse et multiplement unique.
Mais parfois je me pose cette question:
Doit-on tout faire pour arrondir les angles lors d'une discussion où l'on a pas le même avis, ou doit-on risquer l'embrouille?
Doit-on considérer ses amis comme sa famille qui, dans l'absolu, est sensée ne jamais nous en vouloir longtemps, et accepter par amour le parfait comme le pire de notre caractère?
Doit-on se dire: et bien c'est mon amie, mais je suis comme je suis, je pense ce que je pense, donc si elle n'est pas daccord et bien tant pis c'est qu'elle n'en valait pas la peine?
Hum... l'amitié est tel le sucre chalumeauté sur la crème brulée: très bon, très beau, couvant la crème, mais cassante dès les premiers coups de cuillère...
Ce que je fais quand ça arrive?
Donner mon point de vue et pourquoi j'ai ce point de vue sans absolument vouloir changer celui de la personne en face.
J'essaye de comprendre quand cela me semble important ou je laisse juste couler quand c'est une broutille.
Mais quand pour nous il s'agit d'une broutille alors que ça semble hyper important pour l'autre, comment réagir?
Toujours pareil quitte à s'écraser, ou envoyer bouler quitte à blesser?
Et, si c'est important pour l'amie juste parcequ'elle est fatiguée à ce moment là, ou qu'il y a autre chose qui la chagrine et que du coup sa susceptibilité s'en trouve aiguillonnée...
Hum... qu'est ce qui fait que certains, malgré leur vie et ses changements autour arrivent à souvent être justes et faire la part des choses, quand d'autres se laissent déborder par leur humeur quitte à aller jusqu'à la rupture amicale?
Certains penseront à la sagesse, à une certaine philosophie apprise ou innée, selon une enfance heureuse ou non, une bonne connaissance de la nature humaine...
Bref, quels sont les facteurs qui font de nous de bons amis?
de personnes qui semblent faites pour devenir des amis,
de vrais amis, de vrais amis à vous, comme vous, pour vous!
on le ressent comme un étonnement, par exemple quand elle rit aussi fort à la même blague pourrie que vous.
on se retourne, on regarde, on jauge et on est interloquée car on ne s'y attendait pas: si peu de personnes nous complètent dans un monde si vaste et si peuplé...
(ou alors faut être mort de faim ou fan, mais ça c'est un autre sujet.)
Cela m'est arrivé à plusieurs stade de ma vie et à chaque fois sans que je le cherche.
Et depuis, je conserve ces amitiés comme une pitite chose précieuse et multiplement unique.
Mais parfois je me pose cette question:
Doit-on tout faire pour arrondir les angles lors d'une discussion où l'on a pas le même avis, ou doit-on risquer l'embrouille?
Doit-on considérer ses amis comme sa famille qui, dans l'absolu, est sensée ne jamais nous en vouloir longtemps, et accepter par amour le parfait comme le pire de notre caractère?
Doit-on se dire: et bien c'est mon amie, mais je suis comme je suis, je pense ce que je pense, donc si elle n'est pas daccord et bien tant pis c'est qu'elle n'en valait pas la peine?
Hum... l'amitié est tel le sucre chalumeauté sur la crème brulée: très bon, très beau, couvant la crème, mais cassante dès les premiers coups de cuillère...
Ce que je fais quand ça arrive?
Donner mon point de vue et pourquoi j'ai ce point de vue sans absolument vouloir changer celui de la personne en face.
J'essaye de comprendre quand cela me semble important ou je laisse juste couler quand c'est une broutille.
Mais quand pour nous il s'agit d'une broutille alors que ça semble hyper important pour l'autre, comment réagir?
Toujours pareil quitte à s'écraser, ou envoyer bouler quitte à blesser?
Et, si c'est important pour l'amie juste parcequ'elle est fatiguée à ce moment là, ou qu'il y a autre chose qui la chagrine et que du coup sa susceptibilité s'en trouve aiguillonnée...
Hum... qu'est ce qui fait que certains, malgré leur vie et ses changements autour arrivent à souvent être justes et faire la part des choses, quand d'autres se laissent déborder par leur humeur quitte à aller jusqu'à la rupture amicale?
Certains penseront à la sagesse, à une certaine philosophie apprise ou innée, selon une enfance heureuse ou non, une bonne connaissance de la nature humaine...
Bref, quels sont les facteurs qui font de nous de bons amis?
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