Si la compassion était un poil et bien la moustache de mon DAF pourrait sauver l'humanité!
Il est une icône de non-masse, une référence d'humanité inconnue.
J'écris ce post sur lui car si cela n'était pas déplacé, et contrairement à ce que chante Bénabar, j'afficherais volontier sa photo dans mon salon: il est comme un personnage de western, poils au menton, santiags et chemisettes brodées: un vrai lucky-luke du boulot !
A l'exception de ma nana, c'est la personne que je vois le plus quotidiennement. Il fait donc partie de ma vie et quand il va mal, et bien moi aussi...
Du coup, j'écris comme une pière sur la toile, car là ça va pas, mais alors pas du tout du tout. L'est tout à plat, comme privé d'énergie, s'en fiche de tout, l'a perdu son ombre ET ses pistolets!
Comme ça me met en rogne, je lance ma prière aux quatre surfs pour qu'il aille mieux, car même quand je m'ébouriffe les tifs à force de l'encourager, de moraliser en brassant un tas de vent philosophique, ben c'qui tombe c'est des pellicules, c'est pas d'la poudre de fée!
Mon DAF est comme ces paquerettes qui naissent dans le fumier: une belle âme fragile entourée de puanteur. Et j'ai beau essayer de l'en dégager, je ne suis au final qu'une petite pelle poreuse bien inutile.
Le problème c'est qu'il a une famille de tarés: moi j'l'aurais bien adopté mais il est trop vieux pour être mon fils, jme vois mal lui donner la bécquée et l'attraperait bien vite le syndrome du bébé secoué!!
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